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Un road trip plus vert
DES SOUVENIRS… IMPÉRISSABLES En plus des babioles bon marché achetées lors des arrêts en bord de route, des photos qui remplissent les téléphones et de doux souvenirs, il y a autre chose que nous rapportons tous de nos voyages: une empreinte carbone. Si on en croit la plateforme française Greely, la production de carbone d’une voiture serait en effet de 112 à 293 g par kilomètre et par passager! Avec un peu de planification en amont, il existe de nombreuses façons de rendre son voyage sur la route plus durable. AU-DELÀ DU CO2 Bien que la conduite d’une voiture ait moins d’impact environnemental que celle d’un avion, elle laisse tout de même des traces. Ce ne sont pas seulement les émissions de gaz: il y a aussi tous les déchets…
Vacances à l’italienne
Nous sommes ici à Saluzzo. Peut-être que le nom de cette petite ville médiévale au sud de Turin ne vous dit rien et pourtant son marquisat fut puissant, avant de se retrouver au centre de plusieurs batailles entre les Savoie et le Dauphiné. Cette histoire, Andrea Marcante et Adelaide Testa la connaissent bien: non seulement leur agence turinoise est voisine, mais l’appartement de leur client se trouvait au cœur du centre historique… plutôt XIXe siècle en l’occurrence, d’après ce que la grande fresque et le papier peint français retrouvés dans le salon avaient l’air d’indiquer. Coïncidence heureuse vu que le duo avait justement misé sur une palette de tonalités de cette époque, qui lui a permis de tisser un fil rouge à travers toutes les pièces de la maison qui,…
Kananaskis, un joyau naturel préservé en Alberta
Si vous cherchez un havre de paix pour un séjour au cœur des Rocheuses canadiennes, alors la vallée de Kananaskis est faite pour vous. Située dans la province de l’Alberta, à seulement une heure de route de Calgary, cette région sauvage et préservée est en effet une invitation à la découverte de la nature dans toute sa splendeur. Pas de foules ni de complexes hôteliers bondés, mais une authenticité brute, des paysages féériques et une immersion totale dans un écrin de nature intacte. Des paysages à couper le souffle Dès les premiers instants passés à Kananaskis, le spectacle est grandiose : des montagnes escarpées se dressent fièrement sous un ciel d’un bleu profond, tandis que des forêts de conifères à perte de vue s’étirent le long de rivières sauvages et…
La folie du street-art: le cas Invader
L’art a longtemps été confiné aux murs blancs des galeries et aux salles silencieuses des musées, des espaces où l’on marche en chuchotant, où chaque œuvre est protégée par des cordons de velours et des panneaux “ne pas toucher”. Mais certains artistes ont décidé de rompre avec ces conventions, préférant amener leurs créations au cœur du quotidien, là où les passants deviennent des spectateurs involontaires et les rues des galeries à ciel ouvert. Pour eux, l’art n’est pas qu’un objet à contempler, mais une expérience à vivre, à toucher du regard, à découvrir au détour d’une rue ou sur la façade décrépite d’un vieux bâtiment. C’est un art qui s’échappe, qui s’invite là où on ne l’attend pas, et qui se joue des frontières entre le banal et le sublime.…
UN ÉTÉ À SAINT-BARTH
L’EDEN ROCK: UN PALACE ICONIQUE LES PIEDS DANS L’EAU Photos 1, 2, 3 et 4. Grande dame solidement accrochée à la baie de Saint-Jean, l’Eden Rock – St Barths, 70 ans après son ouverture, n’a rien perdu de sa superbe. Mieux, après l’ouragan Irma, le palace, érigé par Rémy de Haenen (le maire de l’île), a subi une rénovation de taille sous la houlette du studio d’architecture britannique Martin Brudnizki. Conservant sa structure caribéenne et ses toits rouge feu, le lieu renferme désormais 37 chambres et suites au design épuré, habillées de bois et de tissus précieux tropicaux. Mais aussi des villas privées, dont une nommée Unik (Photo 9), qui a été conçue par Philippe Starck. À l’abri des regards indiscrets, tout en donnant accès au service cinq étoiles signature…
L’Europe peut-elle se défendre sans Trump ?
Les conteneurs entassés sur les quais forment un monumental ensemble rouge, jaune, vert, orange… Seuls trois points gris détonnent dans cette palette fauve : il s’agit de patrouilleurs, stationnés à l’écart, le long d’une jetée. Gdynia, dans la baie de Gdansk, n’est pas seulement l’un des grands ports de la mer Baltique, c’est aussi le quartier général de la marine de guerre polonaise. Une force navale bien faible : outre les patrouilleurs à quai, deux vieilles frégates, achetées d’occasion aux Américains, servent surtout de navires écoles. Pour les navires de surface, c’est à peu près tout. Quant aux sous-marins, la Pologne en possède deux : l’un, de conception russe, mouille non loin de là ; l’autre, relique dépassée, trône devant l’Académie navale, où il a été transformé en pièce de…